Bajka interprète une musique festive constituée de morceaux traditionnels du répertoire tsigane et klezmer ainsi que des compositions personnelles. Leur influence s'étend sur toute l'Europe de l'Est et même un peu au delà : Macédoine, Roumanie, Serbie, Hongrie, Arménie, Bulgarie...

La superstar de la pop Italienne est de retour avec son 14ème album studio. Porté par le tubesque 1er single "Alla fine del mondo", ce disque s'annonce comme un album clé dans la carrière d'Eros.

Cet album réunit les chansons représentatives de la culture insulaire, chacune interprétées en duo par un artiste Corse et un artiste du continent. Ce projet rend hommage à la langue Corse, et a pour but de créer des rencontres artistiques entre les chanteurs, tel un pont entre 2 terres. Avec la participation exceptionnelle de : Patrick Bruel, Patrick Fiori, Francis Cabrel, Petru Guelfucci, Christophe Mondolini, Bénébar, Maxime Le Forestier, Jenifer, Enrico Macias, Petru Santu, Chico & The Gypsies, Claire Keim, Maurane, Anne Etchegoyen...

Le plus grand artiste Sénégalais vivant revient avec un album qui alterne subtilement entre tradition et modernité. Merveille d'équilibre entre les sons modernes et ses racines africaines, "History" est un album ouvert et varié : on y retrouve entre autres un hommage à Habib Faye, son bassiste disparu, une très belle "Confession", un très beau remix de "Birima" ( avec Seinabo Sey) ainsi que "Hello" en duo avec Mohombi.

Avec son nouvel album solo, le compositeur malien Ballaké Sissoko, convie des artistes issus de la chanson française et de la musique mandingue. Djourou réunit des pièces ou le musicien, seul, dialogue avec sa kora, et d'autres ou il se plait a la faire converser avec des artistes tombés amoureux de sa musique. Il rencontre ainsi la chanteuse Camille, le groupe Feu! Chatterton, le rappeur Oxmo Puccino, le clarinettiste Patrick Messina, le chanteur Piers Faccini, la voix sacrée de Salif Keïta, la talentueuse koraiste Sona Jobarteh, et le violoncelliste et complice de longue date, Vincent Segal. L'improvisateur et prodige malien continue de se réinventer et explorer son art vers d'autres rivages musicaux. Sa musique se déploie dans toutes ses dimensions: intime et universelle, singulière et plurielle, en solitaire ou en conversation.

Angélique KIDJO revient avec un nouvel album, 'Mother Nature'. Un subtil mélange de genres musicaux que l'on retrouve dans cet album : l'afrobeats, l'afro-pop, le dancehall, le hip-hop ou l'alt-R&B. Sur cet opus, Angelique KIDJO a voulu intégrer de jeunes artistes africains, stars ascendantes du continent noir, tels que les nigérians Yemi Alade, Mr Eazy ou Burna Boy, le ghanéen Ghetto Boy, mais aussi les londoniens Blue Lab Beats, les parisiens M ou Dany Synthé, producteur à succès. Angélique Kidjo a voulu souligner l'importance de la chaîne de transmission, illustrée par exemple par le titre Africa, One of A Kind, qui marie le Mandingue Salif Keita et Mr. Eazi, 29 ans, qui s'est inspiré du classique Africa. 'Pendant de nombreuses années, mon seul but était de composer la musique qui me rendait heureuse et représentait sincèrement qui j'étais, mais au fil des années j'ai commencé à réaliser l'impact que certaines de mes chansons avaient eu sur les nouvelles générations', confie l'artiste franco-béninoise qui vit aux états-Unis.

A 23 ans, sous la chaleur torride des musseques de Luanda, l'enfant Zeca a déjà absorbé la tonique Kamundongo dans la composition et l'interprétation du folklore traditionnel, la semba, qu'il élèvera sur les scènes du monde entier ! Il a fondé le groupe Kissueia et a participé à de nombreux autres projets, mais c'est au sein de Kintais qu'il a vécu intensément la profonde culture musicale de l'époque et a acquis l'identité unique qu'il a développée tout au long d'une carrière qui totalise plus de 400 chansons et qui est sur le point d'atteindre son 50ème anniversaire.

Orquesta Akokan est prêt à déchaîner les pistes de danse du monde entier avec 16 Rayos sur Daptone Records. Enregistré dans les célèbres studios Egrem à La Havane, le groupe affiche une cohésion forgée par un cycle intense de concerts et tournées. La conversation musicale qui a commencé dans les studios Areito trois ans plus tôt s'est transformée en un dialogue fluide et intime entre de bons amis - permettant une expression musicale complète et sans peur, une prise de risque en dehors de leurs zones de confort. S'appuyant sur la vision dissonante, presque avant-gardiste, du mambo de Perez Prado et mettant en évidence le sous-texte lucumi des rythmes et des styles cubains, le groupe continue d'explorer, de développer et d'élargir la riche palette rythmique et le répertoire de l'île - repoussant les conventions de ce qui est qualifié de mambo - et puisant profondément dans les traditions folkloriques et religieuses rarement entendues dans la musique populaire. 16 Rayos est là pour nous éclairer de ses rayons musicaux, réchauffer nos coeurs et émouvoir irrésistiblement nos corps.

Depuis leur premier album (2015), Imarhan s'est imposé comme un emblème de la nouvelle génération touareg en insufflant un vent nouveau à l'Assouf. Désignés comme fils spirtituels de Tinariwen (avec lesquels ils jouent régulièrement), le quintet de Tamanrasset manipule les rites et l'ancestralité de leur culture. En réunissant le poète légendaire Japonais (récemment décédé), le musicien conteur Abdallah Ag Alhousseyni, Imarhan se veut rassembleur. Quand ils enregistrent avec le gallois Gruff Rhys des Super Furry Animals, leur songwriting génial et universel prend ici tout son sens. En invitant la chanteuse Soudanaise Sulafa Elyas, on comprend qu'Imarhan est ouvert à toute l'Afrique, défenseurs des Touaregs mais surtout porte-parole de la nouvelle génération africaine. On y parle du lien à la nature, de l'oppression, de la jeunesse perdue mais aussi et surtout d'espoir et de lutte sur des riffs de guitare ensablés, des choeurs envoûtants et des paroles en forme de poésie des grands espaces.