A travers des photographies panoramiques, l'auteur présente les plages du Débarquement et relate les opérations militaires qui s'y sont déroulées. Avec un accès Internet vers des vidéos, des commentaires en langues étrangères, des visites virtuelles de sites et musées et des informations pratiques. Electre 2014

Description de la préparation et du déroulement du jour J, puis de l'avancée des troupes alliées vers Paris. Des photographies d'époque illustrent le récit et 6 cartes détaillent les déplacements du front.

Un ouvrage consacré au débarquement, alliant un récit précis sur le déroulement des faits, des photographies et des témoignages éclairant le destin des soldats.

Après l’opération Cobra, Monty transfère les divisions du VIII Corps et du XXX Corps dans le secteur de Caumont pour une attaque lancée le 30 juillet, ce sera Bluecoat avec la prise du Mont-Pinçon (9 au 15 août), l’attaque vers Flers. Les pertes britanniques sont très élevées face aux Tiger et Jadgpanther d’unités d’élite allemandes.
Cette étude détaillée s’appuie sur de nombreuses photos, cartes et témoignages pour l’essentiel inédits, ainsi que sur les journaux de marche des unités.

L'auteur a recueilli le témoignage de trente personnes ayant vécu le débarquement de Normandie, au coeur du Bocage virois, un pays s'étendant autour de la ville de Vire, dans le Calvados. Ces récits retracent le sort des civils en milieu rural, évoquant leurs comportements, leurs sentiments et la progression meurtrière des libérateurs qui donne un goût amer à la liberté. Electre 2019

Alliée incontournable de tout passionné d'histoire de l'art, du Moyen âge, de l'Antiquité ou de la Renaissance mais aussi de tout résident du Calvados désireux d'explorer la richesse de son territoire, cette référence absolue, enfin rééditée, offre une maquette revisitée révolutionnant l'expérience de lecture. Près de 200 illustrations du XIXe siècle ajoutent à la jubilation ressentie par la redécouverte de ce chef d'œuvre. Canton par canton, commune par commune, Arcisse de Caumont et ses collaborateurs ont visité et décrit toutes les églises, chapelles, châteaux, manoirs et ruines du département. Ils ont localisé les monuments disparus, les traces d'occupation celtique ou gallo-romaine, ajouté des commentaires généalogiques et truffé l'œuvre de d'anecdotes pittoresques. Cette méthode, que l'on découvre au fil des pages, valut à son auteur le surnom de père l'archéologie française. Le premier opus de ce grand classique est consacré aux cantons de Caen (est et ouest) ainsi qu'à ceux d'évrecy, Villers-Bocage, Tilly-sur-Seulles, Creully et Douvres-la-Délivrande.

Cet ouvrage retrace l'implantation sur le sol normand du groupe aérien américain constitué le 11 février 1943, la vie quotidienne des officiers, pilotes et mécaniciens, ainsi que la bataille de Normandie vue du ciel. Avec de nombreuses reproductions de maquettes d'avions, des photos, des objets et des témoignages de vétérans. Electre 2014

Cet ouvrage retrace l'implantation sur le sol normand du groupe aérien américain constitué le 25 janvier 1943, la vie quotidienne des officiers, pilotes et mécaniciens, ainsi que la bataille de Normandie vue du ciel. Avec de nombreuses reproductions de maquettes d'avions, des photos, des objets et des témoignages de vétérans.

Après le succès du volume 1 sur la percée du bocage dans le secteur du XXX Corps britannique du 30 juillet au 15 août 1944, ce second volume présente, pour la première fois de manière aussi détaillée, les opérations du VIII Corps britannique, sur la même période, qui permettra aux Britanniques de percer le front allemand dans le bocage.
Le 28 juillet, Monty ordonne le transfert rapide des divisions du VIII Corps et du XXX Corps dans le secteur de Caumont pour lancer une attaque simultanée des deux corps. L’opération est baptisée « Bluecoat ». Caumont-l’Eventé, Sept-Vents, Saint-Martin-des-Besaces, Le Bény-Bocage, Saint-Charles-de-Percy, Le Tourneur, Montchamp, Chênedollé, Vire, autant de noms qui symbolisent l’âpreté des combats livrés par les unités du VIII Corps britannique pour percer le bocage au cours des quinze premiers jours du mois d’août 1944.
Les pertes britanniques durant cette période sont très élevées face aux Tigres et Jagdpanther des unités d’élite allemandes bénéficiant de l’avantage du terrain. La zone d’opération est beaucoup plus vallonnée et boisée que la tête de pont. Les principaux objectifs sont une série de collines entre Le Bény-Bocage et Aunay-sur-Odon en direction de Vire puis de la route Vire-Vassy.
En s’appuyant sur de nombreuses photos, cartes et témoignages pour l’essentiel inédits ainsi que sur les journaux de marche des unités, l’auteur, responsable du Musée de la bataille de Tilly-sur- Seulles, présente heure après heure, ces combats dans le bocage.

Après l’échec à Villers-Bocage et un nouvel échec à la fin du mois de juin 1944 face à la Cote 112, à l’issue de
l’opération Epsom (la « Bataille de l’Odon »), Monty relance une attaque contre cette Cote 112, au sud-ouest de
Caen, le 10 juillet 1944. Il souhaite ainsi contourner par le sud la capitale bas-normande, objectif du Jour J qui
est alors toujours tenu par les Allemands. Mais, comme à Villers-Bocage, les troupes britanniques échouent à
nouveau sur ce point stratégique face aux puissants chars Tiger. Sous un déluge d’artillerie, cette éminence
sera disputée avec acharnement au prix de pertes terribles pour les deux camps. La Cote 112 sera devenue un
véritable « Verdun normand », bataille de destruction rappelant l’enfer de la Grande Guerre.
Largement illustré, cet album présente un texte historique précis relatant les opérations heure par heure avec de
nombreux témoignages, un véritable film des combats accompagné de photos d’époque, de photos de matériels
du champ de bataille, de profils de chars et de photos comparatives actuelles qui en font un véritable guide de
ce champ de bataille.

Le livre propose une étude méticuleuse des combats de Fontenay-le-Pesnel et de Rauray à l’Ouest de Caen entre les 25 et 28 juin 1944. Les deux
auteurs, Frédéric Deprun et Baptiste Flotté, désiraient détailler cet épisode de la bataille de Normandie débutant par l’opération Martlet, sur les flancs de l’opération Epsom. Les recherches extrêmement détaillées vont venir se concentrer au fil des pages sur le verrou de Rauray et ses combats de blindés. Une chronologie précise a été rendue possible de la destruction de chars Panther devant Fontenay face aux assauts des Polar Bears et de la 15th (Scottish) Infantry Division jusqu’à l’enfoncement de la défense allemande tenue par la Panzer-Lehr-Division et la 12.SS Panzer-Division « Hitlerjugend ». À travers une localisation précise de photographies inédites et un bilan des opérations dans les deux
camps, cette étude, divisée en trois parties, apporte une attention toute particulière sur les reliques des combats et les témoignages qui accompagnent les différents actes de la bataille.

Né en juin 1922, le Badois Richard Freiherr von Rosen va devenir un véritable « homme des Panzers ». Issu d’une famille noble, s’il n’est pas attiré par la guerre, du moins choisit-il d’entamer une carrière d’officier. A 18 ans, il est d’abord incorporé dans la Panzer-Ersatz-Abteilung 35. Un dressage rigoureux, à l’issue duquel il passe quelques mois d’occupation dans le Sud-ouest de la France, avant de connaître son baptême du feu dans un Panzer III lors de l’attaque de l’URSS, fin juin 1941. Blessé quelques semaines plus tard, guéri, début 1942 il rejoint la célèbre école des troupes blindées de Wünsdorf, d’où il sort Leutnantà En janvier 1943, von Rosen intègre la schwere Panzer-Abteilung 502, équipée des flambant neufs chars « Tiger », avec lesquels il sert âprement à l’Est, dans la plaine des Kalmouks, avant d’être versé dans la puissante s.Pz-Abt. 503, comme Zugführer. Là, le baron von Rosen connaît d’âpres affrontements blindés au sud de Koursk, et de longs mois de combats de retraite à travers l’Ukraine, jusqu’en Galicie au printemps 1944, sans cesse confronté à des masses de T-34 de l’Armée Rouge. Quelques semaines après le Jour-J, le « 503 » est envoyé en Normandie, où von Rosen et ses « Tiger » sont frappés de plein fouet par l’opération « Goodwood », à l’est de Caen : de furieux affrontements contre les blindés britanniques sur Emiéville, Manneville ! Les pertes sont lourdes, la supériorité anglo-américaine écrasanteà Von Rosen et son bataillon sont retirés du front de Normandie et remis en condition, recevant alors les nouveaux monstres « Königstiger ». Puis, l’auteur retrouve l’adversaire soviétique, mais en Hongrie, où il est grièvement blessé. Il termine la guerre à l’hôpital, ayant notamment reçu l’insigne des blessés en or, les EK. 2 et 1, et la croix allemande en or. Un ouvrage qui plonge en détails le lecteur dans l’univers des Panzers, à travers le récit personnel d’un tankiste, accompagné de nombreuses photos personnelles, certaines inédites. Une autobiographie lucide sur la guerre, où l’adversaire û russe ou britannique û est sans cesse considéré avec respect. Ayant poursuivi sa carrière dans la Bundeswehr, von Rosen nous a quittés il y a quelques années.

Présentation illustrée, par ordre chronologique, de 90 hommes de sciences nés et ayant étudié en Normandie, entre la fin du XVe et le début du XXIe siècle. Electre 2019

Le récit détaillé de la bataille menée en juin 1944 par les Rangers et la Wehrmacht sur la pointe du Hoc, dans le Calvados. Depuis la préparation des troupes nord-américaines jusqu'aux affrontements sur Omaha Beach en passant par les bombardements de la côte normande, les images d'archives complètent les témoignages et la description des événements. Electre 2020

Présentation des différents modèles d'avions utilisés durant la bataille de Normandie en 1944 : bombardiers, chasseurs, torpilleurs, entre autres. L'auteur évoque notamment l'opération secrète menée à Cherbourg, port où sont confisqués les engins sophistiqués allemands en 1945. Electre 2021